Statistiques

vendredi 25 novembre 2011

Stagiaires autour du monde

Acquérir une expérience pratique pendant votre formation, c’est bien. Effectuer un stage à l’étranger, c’est encore mieux! Aperçu des avantages et inconvénients.

Une expérience enrichissante

Pour développer votre débrouillardise, un stage à l’étranger n’a pas son pareil. «Il peut être très intéressant d’étudier dans un autre pays, mais quand on se retrouve au boulot, au cœur des relations du travail, c’est là que les différences culturelles se concrétisent», soutient Chloé Perrin-Macgaw, étudiante à HEC Montréal qui a travaillé deux mois dans un hôtel cinq étoiles au Bangladesh en 2009. Apprendre à composer avec les réalités locales, comprendre les interactions entre collègues ou gérer sa relation avec son patron sont autant de preuves de votre capacité d’adaptation. Une qualité prisée par les recruteurs d’ici.

Emplois

:: Consultants Guylaine Vachon rech. gestionnaires hébergement et restauration. Exg.: Diplôme gestion hôtelière et/ou restauration, bilingue, exp. supervision et gestion hôtels
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:: Groupe Le Massif Inc. rech. représentant(e) aux ventes, marché affaires. Exg.: Diplôme universitaire 1er cycle en admin. des affaires ou
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:: Hotel-Musée Premières Nations rech. directeur(trice) des ventes. Exg.: DEC ou diplôme universitaire pertinent, 5 à 7 ans d'exp. vente en
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:: Camping Québec rech. coordonnateur(trice) des communications. Exg.: Formation communication ou équivalent, 2 ans d'exp. poste similaire, excellente maîtrise français et anglais,
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:: CanadaXpérience rech. directeur(trice) du réceptif. Exg.: Connaissance industrie touristique canadienne, marketing web et vente, bonne maîtrise français et anglais oral
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Le bulletin touristique du Québec

Tourisme international

Le tourisme international était en hausse de 3,1 % au Québec en septembre 2011 par rapport au même mois en 2010. Il était également en hausse de 2,2 % en Ontario, de 1,2 % en Colombie-Britannique et de 0,7 % pour l’ensemble du Canada.

En septembre 2011, le nombre des entrées à la frontière du Canada par le Québec en provenance des États-Unis a augmenté de 2,0 %, soit 2 856 touristes de plus qu’en septembre 2010. Cette augmentation est attribuable surtout à la hausse de 4,6 % du nombre de touristes américains ayant utilisé d’autres moyens de transport que l’automobile.

Pour la même période, le nombre des entrées à la frontière par le Québec des touristes en provenance des autres pays que les États-Unis a augmenté de 4,7 %, ce qui représente 4 767 touristes de plus par rapport à septembre 2010. La France et le Royaume-Uni ont enregistré les hausses les plus importantes en nombre absolu avec respectivement 4 250 et 1 162 touristes de plus.

Guatemala: à la rencontre des Mayas

Les cités perdues, les dialectes, la cuisine, les couleurs, l'artisanat et les habitants; tout, au Guatemala, rappelle que le cœur du pays bat encore au rythme de la culture maya.

Le Guatemala est indissociable de son héritage et c'est pourquoi, en partant du Québec pour aller là-bas, en plus de voyager vers le Sud, on effectue un voyage dans le temps.

«Ici, contrairement à d'autres pays, les Indiens d'origine maya ne sont pas mis à l'écart, ils sont plutôt mis à l'avant-scène. Nous ne voulons pas éloigner, cacher ou perdre les Indiens: ils sont notre richesse touristique», explique Willy Posadas, guide touristique guatémaltèque.

D'ailleurs, la phrase promotionnelle touristique du pays - «Guatemala, Cœur du Monde Maya» - prouve bien l'importance de la culture maya pour la destination. Avec 60% d'Indiens au pays et 35% de métis, il faut dire, de toute façon, que c'est en chacun des habitants guatémaltèques que respire encore l'héritage maya. Les Mayas d'hier

Ce n'est que vers le XIXe siècle que les archéologues ont découvert dans la jungle les ruines des cités mayas tombées dans l'oubli depuis leur abandon, autour du Xe siècle. Depuis, graduellement, des pans de l'histoire de cette civilisation connue pour ses importants progrès dans les domaines de l'architecture, de l'écriture, de l'art, des mathématiques et de l'astronomie ont été dévoilés. L'histoire des Mayas, qui ont habité les territoires que sont désormais le Mexique, le Belize, le Guatemala, le Honduras et le Salvador, est encore entourée de mystère aujourd'hui puisque d'importants manuscrits mayas ont été brûlés lors de la conquête espagnole du 16e siècle et que des centaines de vestiges sont encore cachés dans la nature.

La surpopulation, le tabou du développement durable

Alors que la planète vient d’accueillir son 7 milliardième habitant, la hausse constante de la population mondiale doit faire face à plusieurs défis environnementaux qui semblent souvent écartés des discours de politiques durables. Réflexion sur cette situation aux États-Unis.

Croissance démographique : le vilain petit canard

Le lien entre croissance démographique et dégradation de l’environnement parait pourtant évident : plus la population augmente, plus les émissions de gaz à effet de serre sont importantes et plus de ressources naturelles sont consommées. Pourtant, la question démographique est souvent omise des discours et débats publics sur le réchauffement climatique aux États-Unis.

Les réalisateurs Christophe Fauchere et Joyce Johnson expliquent que lorsqu’ils se sont mis à tourner leur nouveau documentaire “Mother : Caring For Seven Billion”, qui s’intéresse à la croissance démographique et aux changements climatiques, ils ont été surpris de découvrir que c’était un sujet brûlant chez plusieurs groupes d’associations environnementales, en se faisant régulièrement raccrocher au nez. Christophe Fauchere explique:

La stigmatisation de l’augmentation de la population est si forte que les gens ont tendance à se renfermer.
Pourtant, un tournant mondial a été annoncé cette semaine puisque la population terrestre vient d’atteindre les 7 milliards. Et selon le dernier rapport du Fonds des Nations Unies pour la population (FNUAP), le monde devrait compter 9,3 milliards d’individus d’ici 2050 et 15 milliards pour la fin du siècle…

Paris en chiffres

La France est le pays le plus visité au monde. Chaque année, le nombre de visiteurs qui séjournent dans la capitale se calcule en millions. En effet, Paris est une ville qui possède plusieurs atouts, en voici quelques-uns en chiffres.

Environ 27 millions de touristes, dont 18 millions d’étrangers, passent une partie de leurs vacances à Paris. La ville intra-muros ne compte que 2 215 000 habitants. En incluant les banlieues, la région parisienne en totalise 12 millions. Quand on fait l’inventaire de ce qu’il y a à voir, tant sur le plan qualitatif que quantitatif, on comprend facilement pourquoi autant de personnes traversent l’océan.

Musées

Certains sont étonnants, d’autres magnifiques, mais ils ont tous un petit quelque chose qui ne laisse pas indifférent. On les classe en trois catégories : nationaux, municipaux ou privés. En tout, on en dénombre une bonne centaine.

La grande vedette, c’est bien sûr le Louvre, qui, avec 8500000 entrées, est le musée le plus visité au monde, loin devant le British Museum de Londres. Signe de l’importance des musées parisiens, deux autres musées se retrouvent dans le top 10 mondial des musées les plus fréquentés: le Centre Pompidou et le Musée d’Orsay. Avec un tel succès, attendez- vous à faire la queue avant de voir leurs riches trésors. Sauf dans quelques musées privés, le prix d’entrée est en général très abordable. Il est à noter que les musées appartenant à la Ville, comme le Petit Palais, le Musée Carnavalet ou la Maison Balzac, ouvrent les portes de leurs collections permanentes gratuitement.

Boom hôtelier à Cancun et Playa del Carmen

La station balnéaire de Cancun, dans le sud-est du Mexique, connaît un fort développement hôtelier, et rien ne semble vouloir l’arrêter. Même chose à Playa del Carmen. Dur à croire quand on sait que Cancun n’avait que trois habitants en 1970… contre 525 000 aujourd’hui. Cette région touristique, prisée des Québécois, compte aujourd’hui plus de 170 hôtels de luxe. Et le développement se poursuit.

À Playa del Carmen, à 65 km de Cancun, la chaîne espagnole Melia ouvre mardi deux nouveaux complexes «Paradisus». «La Esmeralda» et «La Perla» proposent des formules «tout inclus», version grand luxe, au bord de la mer des Caraïbes. On parle ici de 10 bars et de 12 restaurants, d’un spa, de vastes piscines et d’aménagements paysagers naturels.

Réservé aux adultes, le complexe La Perla compte 394 chambres, dont 120 de type «service royal» (haut de gamme) qui donnent accès à une plage, un bar et un restaurant privés. L’hôtel La Esmeralda est, lui, ouvert à tous et comprend 512 chambres de luxe, dont 122 «familiales» avec concierge, ce qui donne accès à des activités et à des excursions.

La force de Playa del Carmen, c’est son avenue principale, la 5e avenue, où l’on peut passer ses journées à magasiner et ses soirées à manger et à faire la fête.

New York: visite de Chelsea et du Meatpacking District

Le secteur qui s’étend de West 14th Street au sud jusqu’à West 29th Street au nord (compris entre Fifth Avenue à l’est et le fleuve Hudson à l’ouest) est constitué d’un mélange hétéroclite de maisons en rangée, de commerces, d’entrepôts et de manufactures. Bien que le nom de Chelsea lui ait été accolé dès le milieu du XVIIIe siècle, il est toujours à la recherche de son identité propre.

Après avoir été un moment le quartier des théâtres et des opéras, Chelsea a accueilli l’industrie naissante du cinéma américain, la partageant avec le Queens, avant qu’elle ne prenne le chemin de la ­Californie. Depuis l’ère glorieuse du disco dans les années 1970, on trouve dans Chelsea de vastes nightclubs qui se succèdent au rythme des modes. Plusieurs d’entre eux s’adressent à la clientèle gay, qui n’est plus exclusivement concentrée dans Greenwich Village. Chelsea est également devenu au fil du temps le creuset de l’art moderne à Manhattan. Les galeristes new-yorkais y affluent: découvreurs de tendances et dénicheurs de talents, ces marchands d’art influents ont réussi à reléguer les galeries d’art de SoHo au second plan en attirant critiques, collectionneurs… et touristes!

La St. Francis Xavier Church possède une étrange façade néobaroque de type jésuite, précédée d’un profond portique à arcades. L’église fut élevée en 1882 selon les plans du prolifique architecte de ­Brooklyn, ­Patrick C. Keely, qui aura, au cours de sa longue carrière, dessiné une centaine d’églises catholiques à travers les États-Unis ainsi qu’au Canada.

La belle façade en terre cuite vitrifiée de l’ancien Siegel-Cooper Department Store accroche le regard au passage. L’édifice, érigé à l’origine pour abriter un grand magasin, rappelle l’époque où Sixth Avenue était surnommée Fashion Row (l’allée de la mode) en raison des nombreux magasins qui la bordaient entre West 14th Street et West 23rd Street. Attention de ne pas confondre la Fashion Row avec le Ladies Mile, autrefois établi sur Broadway à l’est.

Climat : Plus de canicules, de sécheresses et d'inondations

Vagues de chaleur plus intenses en Europe, sécheresses plus régulières en Afrique, submersions plus dévastatrices dans les îles: les épisodes «extrêmes» vont s'accroître à cause du réchauffement climatique, avec des disparités régionales fortes, selon un rapport qui sera publié cette semaine.

Ce document du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (Giec), discuté cette semaine en Ouganda, est le travail le plus complet mené à ce jour pour tenter de mesurer l'impact que peut avoir le réchauffement sur l'intensité et la fréquence des événements climatiques extrêmes.

Selon les pires scénarios établis par cet organe scientifique de référence sur le climat, certaines régions pourraient devenir franchement inhospitalières, prévient la version provisoire du résumé obtenue par l'AFP.

«Si des désastres surviennent plus fréquemment et/ou avec plus d'amplitude, certaines régions deviendront de plus en plus inadaptées en tant que lieux où vivre ou dans lesquels maintenir des activités de subsistance», indique-t-il.

«Dans certains cas, la migration deviendrait permanente et pourrait introduire de nouvelles pressions dans des zones d'accueil pour des régions comme les atolls», ajoute ce document.

La version définitive du «résumé pour décideurs» sera dévoilée vendredi à Kampala à l'issue d'une réunion qui débute lundi dans la capitale ougandaise, à une dizaine de jours de l'ouverture de la conférence annuelle sur le climat de l'ONU, prévue du 28 novembre au 9 décembre à Durban (Afrique du Sud).

mercredi 23 novembre 2011

Les 7 Merveilles de la Nature, toutes sous des cieux lointains

Les 7 Merveilles de la Nature, une opération lancée par une fondation suisse, sont toutes situées sous des cieux lointains et exotiques, selon les résultats provisoires des votes des internautes publiés vendredi.

Les sites choisis sont par ordre alphabétique: l'Amazonie, la baie d'Halong (Vietnam), les chutes d'Iguazu (Brésil, Argentine), l'île de Jeju (Corée du Sud), l'île de Komodo (Indonésie), la rivière souterraine de Puerto Princesa (Philippines), et la Montagne de la Table (Afrique du Sud).

La fondation suisse précise que des changements sont encore possibles, ce résultat étant encore provisoire.

En annonçant ces résultats au siège de la fondation à Zurich, le président-fondateur de New7Wonders, Bernard Weber, un réalisateur de films documentaires, a déclaré qu'il voulait «remercier tous les participants» à cette opération qui a commencé il y a 4 ans, avec au départ 44O sites dans plus de 220 pays. Enfin a été sélectionnée une liste de 28 sites finalistes, parmi lesquels ont été choisies les 7 Merveilles de la Nature.

Les opérations de vote -- qui pouvaient se faire par téléphone, SMS ou à travers les réseaux sociaux -- ont pris fin ce vendredi.

Emplois

:: Tourisme Montréal rech. gestionnaire, services aux membres, partenariats et marketing relationnel. Exg.: BACC communication ou domaine connexe, bilingue essentielle, maîtrise
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:: Fédération québécoise de camping et de caravaning rech. directeur(trice) général(e). Exg.: Formation universitaire admin., marketing, tourisme ou autre domaine connexe,
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:: Tourisme Montréal rech. gestionnaire, relations publiques. Exg.: Diplôme universitaire communications ou relations publiques, min. 5 ans d'exp. poste similaire, excellente
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:: Hilton Québec rech. directeur(trice) des revenus. Exg.: Min. 5 ans d'exp. poste similaire, bilingue, très bonnes connaissances des sites de
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:: Hôtel-Musée Premières Nations rech. coordonnateur(trice) ventes et marketing. Exg.: DEC technique de gestion hôtelière, 2 ans d'exp. gestion d'évènement ou
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mardi 22 novembre 2011

Pistes de réflexion du réseau d’accueil au Québec

Au-delà du simple acte de renseignement, un bureau d’accueil ou d’information touristique se doit d’être un ambassadeur de la destination et d’offrir aux visiteurs une véritable expérience. L’intégration des nouvelles technologies, la redéfinition du modèle d’accueil et l’accès à l’information ont été quelques-uns des sujets de réflexion abordés, notamment à l’aide d’exemples, dans le cadre de la thématique «L’accueil dans tous ses états», lors des Journées annuelles de l’accueil touristique à Shawinigan, du 19 au 21 octobre dernier.

L’effet positif des bureaux d’accueil sur l’économie du Québec

Le ministère du Tourisme du Québec a profité de l’évènement pour dévoiler les résultats de l’enquête menée de juillet à décembre 2010 auprès de 8 552 visiteurs (hors population locale et personnes en cours de planification de voyage) de 58 bureaux d’accueil au Québec. Parmi les faits saillants, notons qu’à la suite d’un acte de renseignement:

  • 36% des visiteurs auraient prolongé leur séjour dans la région du lieu d’accueil par rapport à leur planification initiale;
  • 48% des visiteurs auraient prévu effectuer un autre voyage dans la région pour participer à une activité ou pour visiter un attrait suggéré par le préposé;
  • la prolongation de séjour (dans la région du lieu d’accueil et dans les autres régions) associée à environ 38% des actes de renseignement se traduirait par des dépenses supplémentaires de 32,5 millions de dollars. En extrapolant ces résultats à l’ensemble des lieux d’accueil, on obtiendrait des dépenses additionnelles de près de 100 millions de dollars, soit un PIB au prix du marché de 74,4 millions de dollars.

Génération C : la révolution des Echo-Boomers

L’article de Don Tapscott, paru le 4 avril dernier : The World’s Unemployed Youth : Revolution In The Air ? s’avère d’autant plus d’actualité, qu’après le Printemps Arabe, le monde fait face à un nouveau mouvement social qui s’attaque cette fois aux fondements même du capitalisme et de la société moderne.

Dans les deux cas, ces mouvements sont nés de l’insatisfaction et de la colère des jeunes (16-25 ans) face aux promesses bafouées de la société ; le chômage arrivant en tête de liste.

Dans son article, l’auteur et conférencier canadien souligne que dans les pays touchés par les événements du printemps dernier, 24% des jeunes de 18 à 25 ans ne peuvent trouver d’emploi. Du même souffle, il rappelle aussi qu’au Royaume-Uni la situation n’est guère plus reluisante alors que les jeunes de 16 à 24 ans représentent plus de 40% des chômeurs du pays, soit plus de 1 million de jeunes adultes.

Selon un récent sondage, plus de la moitié des jeunes britanniques songent même émigrer pour se trouver un job convenable. D’un côté comme de l’autre de l’Atlantique, aux Etats-Unis, comme en France, les chiffres sont comparables: 1 chômeur sur 5 est âgé de moins de 25 ans… 

Les Baby-Boomers et les Echo-Boomers : un même combat !

On doit se rendre à l’évidence que la société a lamentablement échouée dans sa promesse d’avenir pour notre jeunesse. Le message qu’on leur a transmit voulait que s’ils travaillent fort, qu’ils poursuivent leurs études et qu’ils se tiennent loin du trouble, ils aient une vie heureuse et prospère. Or, suite à la crise économique de 2008, les perspectives ont radicalement changées, et du coup, cette promesse lamentablement bafouée.

China’s ski resorts missing just one thing: skiers

On a bright day last winter, the managers of Wanlong ski resort in northern China decided it was the perfect time to take aerial photos of the mountain. The bird’s-eye view revealed something strange: The parking lot was packed but the ski runs were empty. At ground level, the mystery was easily solved: Visitors had ditched their skis to dine on braised pork in the restaurant, play cards in the tea house and go for foot massages in the spa.

On the face of things, the skiing industry has boomed in China. The country had fewer than 10,000 skiers and nine small skiable hills in 1996. That swelled to about five million skiers and 186 possible destinations at the end of last year, according to the Chinese Ski Association.

Those strong numbers are deceptive. There is still little in the way of a dedicated skiing community in China. So when it comes to selling lift tickets or chalets, it has been a painful decade for the developers of Chinese ski resorts.

They have had to learn the hard way that what might be considered après-ski activities elsewhere in the world must be in-lieu-of-ski activities in China if they want to attract crowds.

“Skiing in China is just at the point of takeoff. I’d say that 99 per cent of ski resorts are losing money. No one is making a profit,” says Zeng Mingsen, sales director at Wanlong, about four hours’ drive from Beijing.

6 Creative Ways to Make Content More Visual

We humans are visual creatures, and sometimes the best way for us to learn or understand a new concept is to actually see it. After all, that's why they say, "a picture is worth a thousand words," right?

So if humans love visuals, why not leverage that fact on your blog and in other content creation? Here are six great ways to make your inbound marketing content more visual. 

6 Creative Ways to Improve Content With Visuals

1. Include High-Quality, Professional-Looking Photos and Images: Have you ever clicked through to a blog article that was all -- and only -- text? If the article didn't make you yawn during the first sentence, you probably didn't even make it to the first sentence. Blog posts, ebooks, and web pages that lack any sort of visual element are extremely uninviting to the eye. At the very least, include some kind of relevant and engaging photo or image on every page of content you create. In fact, research shows that images actually improve the performance of certain types of content in terms of engagement, such as on Facebook, emails, and even press releases. Please, just pick something that looks high quality and professional. It doesn't have to be an expensive stock photo. A Creative Commons image will usually do just fine.

2. Create Infographics: Consider including infographics as part of your content creation strategy. People love them, and it's not difficult to understand why. Infographics provide a ton of valuable information in an easy-to-digest and interesting format. Talk about value! Just be sure to choose a topic that your target audience would find valuable, and make sure it encompasses these ten traits like the following infographic from Tatango does.

Record d'affluence chez Disneyland Paris

Des visiteurs plus nombreux, qui dépensent plus: c'est le bilan annuel d'Euro Disney, première destination touristique européenne, qui rêve de sortir du rouge, alors que le parc de loisirs Disneyland Paris fête l'an prochain ses 20 ans.

Le site a vu 15,6 millions de visiteurs affluer d'octobre 2010 à la fin septembre 2011, un record. C'est 4% de mieux que sur l'exercice précédent.

La bonne nouvelle, selon le patron d'Euro Disney, Philippe Gas, c'est également que les visiteurs des parcs ont dépensé davantage (+2%, à 46,23 euros par jour en moyenne).

Et que le scénario est le même pour les hôtels: davantage de clients, avec 87,1% de taux d'occupation des 5800 chambres et 35 000 nuitées supplémentaires, et des visiteurs qui ont dépensé plus que jamais (+5%, à 219,74 euros par chambre et par jour en moyenne).

En tête de la clientèle de Disneyland figurent comme toujours les Français (49%), devant les Britanniques (13%) et les Espagnols (59%), que le climat morose n'a pas dissuadé d'aller voir Mickey, en raison de «leur attachement» à l'image, selon M. Gas. Suivent ensuite les Belges et Luxembourgeois (6%), les Néerlandais (6%), les Italiens (4%) et les Allemands (2%).

La famille Disney typique

La «famille Disney typique, c'est un couple de cadres avec des enfants de 6 à 9 ans, habitués consommer du produit Disney et à fréquenter les sites de séjours touristiques. Ils restent en moyenne 2 jours et 2 nuits», selon M. Gas.

Il s'est félicité du fait que «les Britanniques soient revenus», grâce notamment à des offres ciblées comme des séjours incluant le transport, et a concédé la difficulté «d'accrocher les touristes allemands» ou encore de capter les pays émergents.

D'une manière générale, la stratégie de remontée des prix du groupe a payé, estime Euro Disney. Bilan: le chiffre d'affaires des activités touristiques, qui constituent l'essentiel des rentrées du groupe, est en hausse de 5% - pour un chiffre d'affaires global en hausse de 1,8% à environ 1,3 milliard d'euros.

New York: visite de Chelsea et du Meatpacking District

Le secteur qui s’étend de West 14th Street au sud jusqu’à West 29th Street au nord (compris entre Fifth Avenue à l’est et le fleuve Hudson à l’ouest) est constitué d’un mélange hétéroclite de maisons en rangée, de commerces, d’entrepôts et de manufactures. Bien que le nom de Chelsea lui ait été accolé dès le milieu du XVIIIe siècle, il est toujours à la recherche de son identité propre.

Après avoir été un moment le quartier des théâtres et des opéras, Chelsea a accueilli l’industrie naissante du cinéma américain, la partageant avec le Queens, avant qu’elle ne prenne le chemin de la ­Californie. Depuis l’ère glorieuse du disco dans les années 1970, on trouve dans Chelsea de vastes nightclubs qui se succèdent au rythme des modes. Plusieurs d’entre eux s’adressent à la clientèle gay, qui n’est plus exclusivement concentrée dans Greenwich Village. Chelsea est également devenu au fil du temps le creuset de l’art moderne à Manhattan. Les galeristes new-yorkais y affluent: découvreurs de tendances et dénicheurs de talents, ces marchands d’art influents ont réussi à reléguer les galeries d’art de SoHo au second plan en attirant critiques, collectionneurs… et touristes!

La St. Francis Xavier Church possède une étrange façade néobaroque de type jésuite, précédée d’un profond portique à arcades. L’église fut élevée en 1882 selon les plans du prolifique architecte de ­Brooklyn, ­Patrick C. Keely, qui aura, au cours de sa longue carrière, dessiné une centaine d’églises catholiques à travers les États-Unis ainsi qu’au Canada.

Guatemala: à la rencontre des Mayas

Les cités perdues, les dialectes, la cuisine, les couleurs, l'artisanat et les habitants; tout, au Guatemala, rappelle que le cœur du pays bat encore au rythme de la culture maya.

Le Guatemala est indissociable de son héritage et c'est pourquoi, en partant du Québec pour aller là-bas, en plus de voyager vers le Sud, on effectue un voyage dans le temps.

«Ici, contrairement à d'autres pays, les Indiens d'origine maya ne sont pas mis à l'écart, ils sont plutôt mis à l'avant-scène. Nous ne voulons pas éloigner, cacher ou perdre les Indiens: ils sont notre richesse touristique», explique Willy Posadas, guide touristique guatémaltèque.

D'ailleurs, la phrase promotionnelle touristique du pays - «Guatemala, Cœur du Monde Maya» - prouve bien l'importance de la culture maya pour la destination. Avec 60% d'Indiens au pays et 35% de métis, il faut dire, de toute façon, que c'est en chacun des habitants guatémaltèques que respire encore l'héritage maya. 

dimanche 20 novembre 2011

Cinq choses que vous ne saviez (peut-être) pas sur la République dominicaine

1. La République dominicaine est le premier producteur mondial de cigares.

Si l’on s’imagine souvent que Cuba détient le monopole en la matière, il faut savoir que la République dominicaine est pourtant le premier producteur mondial de cigares. Il est facile de s’en procurer un peu partout sur l’île, mais ce sont dans les magasins officiels qu’il faut penser faire ses achats, la qualité des cigares vendus sur la rue ou dans les marchés ambulants laissant souvent à désirer.

2. En février, le Carnaval de La Vega fait vibrer tout le pays.

La plus importante fête populaire de l’année est sans aucun doute le Carnaval et c’est celui de La Vega (situé dans le centre de la République dominicaine) qu’il ne faut pas manquer. Joli mélange de carnaval européen (apporté au pays par les conquistadores espagnols) et de traditions africaines, le Carnaval prend les traits d’une véritable expression d’identité nationale.

Ce sont les impressionnants masques faits de papier mâché aux couleurs très vives représentant des diables à corne qui font la renommée du Carnaval de La Vega. Des diables que les passants redoutent, car, lors des processions du dimanche, ceux-ci cherchent les pêcheurs dans la foule et les frappent avec leurs «vejigas», sorte de gros gourdins confectionnés avec des vessies de porcs, pour les punir de leurs fautes.

3. Il est possible d’y gravir la plus haute montagne à dos d'âne.

Point culminant de la République dominicaine, le Pico Duarte offre une vue imprenable sur le pays tout entier. Situé dans le parc José del Carmen Ramirez, il s'élève à plus de 3000 mètres d'altitude et c’est à dos d’âne que la majorité des gens font le trajet jusqu’à son sommet.

Le groupe Hilton investit dans l’environnement et fait de grosses économies

Hilton Worldwide est l’un des plus importants groupes hôteliers au monde. Avec plus de 3700 établissements dans 85 pays, il propose une large gamme d’hôtels, d’hébergements et de complexes touristiques sous une dizaine de marques. Le groupe vient d’annoncer les très bons résultats, pour l’année 2010, de son programme LightStay, son système de mesure de développement durable.

Des réductions de tous les côtés

Depuis l’instauration de LightStay, le groupe Hilton Worldwide continue d’améliorer ses performances économiques et environnementales en économisant plus de 74 millions de dollars [54 millions d'euros] sur ses coûts répartis comme suit :
  • une réduction de 6,6% de sa consommation énergétique
  • une baisse de 7,8% de ses émissions de carbone
  • une réduction de 19% de ses déchets
  • une diminution de 3,8% de sa consommation d’eau
À ce jour, les efforts du groupe correspondent à la suppression de plus de 50 000 voitures sur la route ; à une économie d’eau qui pourrait remplir plus de 1000 piscines ; et à une économie d’énergie correspondant à l’alimentation en électricité de 20 000 logements chaque année. Christopher J. Nassetta, président et directeur général du groupe Hilton Worldwide, explique :

Peut-on sauver l'or vert du Congo ?

Deuxième poumon de la planète après l’Amazonie, la forêt tropicale du bassin du fleuve Congo perd du terrain chaque année. Pour renverser le mouvement, il faut des ingénieurs forestiers, que l’Université Laval contribue à former.

L'étroite piste de terre battue est complètement ensablée. Les pierres, troncs d'arbres et sacs de sable disposés tout le long n'ont pas réussi à contrer l'érosion. Des conducteurs se sont d'ailleurs enlisés, ce qui force les autres à patienter dans l'odeur de terre chauffée par le soleil mêlée à celle du charbon qui brûle sous les marmites dans un village à 200 m de là. Ils n'ont guère le choix : la route principale s'est effondrée après une violente averse, il y a plus de deux ans, et il n'existe aucune autre voie pour la contourner.

Ironie du sort, c'est cette route qu'il faut emprunter pour se rendre à l'Institut supérieur agrovétérinaire de Kimwenza, en péri­phérie de la capitale, Kin­shasa. Cette école formera, à partir de ce mois-ci, ceux qui représentent le salut de la forêt congolaise : des ingénieurs forestiers, dont la République démocratique du Congo (RDC) manque cruellement. Aménagé dans un domaine de quelques hectares administré par les Jésuites, le campus forme un des rares îlots de verdure à plus d'une centaine de kilomètres à la ronde.

Avec ses 2,1 millions de kilomètres carrés - l'équivalent du Québec et de Terre-Neuve-et-Labrador réunis-, la forêt tropicale du bassin du fleuve Congo représente 70 % des forêts africaines et 26 % des forêts tropi­cales du monde, ce qui en fait le deuxième poumon de la planète après la forêt amazonienne. Située au centre du continent africain, elle s'étend sur six pays : la RDC (1,5 million sur les 2,1 millions de kilomètres carrés), le Congo, le Cameroun, le Gabon, la Guinée équatoriale et la République centrafricaine. Elle joue un rôle dans le climat de la sous-région en régularisant le cycle hydrologique et en séquestrant le carbone. « Avant, les pluies commençaient dès le 15 septembre, se souvient le père Jacques Buensi, directeur général de l'Institut de Kimwenza. Maintenant, il faut attendre la mi-octobre, sinon la fin du mois, ce qui a des conséquences sur les cultures. »

Pernambouc: entre culture et beautés naturelles

Situé au centre du nord-est brésilien, le Pernambouc présente une grande diversité de découvertes culturelles et naturelles.

Le Pernambouc dessine sur la carte du Brésil une bande de terre qui avance d'est en ouest, de la côte, berceau de la colonisation portugaise et de la culture de la canne à sucre, vers le Sertão, pays de broussailles et de sécheresse. Ici, les amoureux de culture seront comblés, tout comme les amateurs de plaisirs balnéaires.

Les sites incontournables

Recife, la capitale du Pernambouc

Recife est une ville attachante qui mérite que l’on prenne le temps de déguster à l’envi ses richesses culturelles et ses plaisirs balnéaires. Sans oublier l’accueil chaleureux de ses habitants, réputés pour leur sens de la fête. Les canaux et les ponts hérités de la colonisation hollandaise lui ont valu le surnom de «Venise brésilienne». Dans le Recife Antigo, il faut prendre un verre rue du Bom Jesus, admirer la synagogue Kahal Zur Israel, la première des Amériques, et la belle façade baroque de l’église Sao Pedro dos Clerigos.

Olinda, un des joyaux du Brésil

Inscrite au patrimoine mondial par l’UNESCO, Olinda enchante par son architecture, par sa beauté naturelle et par son carnaval unique en son genre. Le cœur historique est situé sur une colline dont les rues étroites et pentues sont bordées de charmants édifices colorés et d’ateliers d’artisanat. La ville possède un remarquable patrimoine religieux: ne pas manquer les visites de l’église de l’ordre carmélite, de l’église du Rosaire des Hommes Noirs d'Olinda, du couvent de Saint-Francis et du monastère de Saint-Benoît.

Le tourisme médical se porte bien

Les soins de santé à l'étranger attirent un nombre croissant de clients chinois prêts à payer rubis sur l'ongle pour avoir la qualité et la discrétion, d'après des experts du secteur.

Par rapport aux Etats-Unis, cependant, cette tendance est différente en Chine.

Les clients chinois à la recherche de services médicaux à l'étranger sont en général très riches et demandent des soins et des services de qualité, dit Renee Marie Stephano, Présidente de l'Association du Tourisme Médical américaine.

Comme les soins de santé en Chine sont parmi les moins chers du monde, les « touristes médicaux » en provenance de Chine mettent en général l'accent sur la qualité et la discrétion, a t-elle dit.

« L'économie dynamique de la Chine a généré un nombre énorme de gens riches, qui peuvent contribuer à stimuler davantage encore ce secteur », a t-elle dit.

Les destinations les plus populaires pour les touristes médicaux chinois sont des pays et des régions comme le Japon, la Corée du Sud, les Etats-Unis et Hong Kong, toutes étant pour ces personnes des destinations de premier plan, a dit Xu Shuo, Secrétaire général de l'Association des Docteurs en Médecine de Beijing.

Près de 6 000 Chinois partent chaque année à l'étranger pour des soins de santé, en particulier pour des soins anti-âge, le dépistage du cancer, des accouchements et le traitement de maladies chroniques, a dit Yang Jian, PDG de la Plateforme de Promotion et de Produits de Tourisme Médical.

L’utilisation d’un tweetwall pendant un évènement

Vous désirez intégrer Twitter et un tweetwall lors de vos événements ? Ces outils vous permettront de créer de l’interaction avant, pendant et après l’événement avec les participants et les intervenants, d’en faire la promotion et de générer un « buzz », d’obtenir le pouls en direct pendant l’événement et de bâtir un solide réseau de contacts. Voici donc mes suggestions d’étapes à suivre afin de mettre en place ces outils de communication des plus intéressants…

1 – Organiser une réunion avec les responsables de l’événement afin de bien déterminer vos objectifs, l’angle à utiliser et les informations à véhiculer ; désirez-vous véhiculer du contenu corporatif, augmenter la notoriété de l’événement, faire connaître l’historique de l’événement, solliciter l’interaction avec ou entre les participants, promouvoir les activités offertes ou une cause, annoncer un concours, inciter la participation, etc. ? Rendre ces objectifs SMART afin de pouvoir les analyser après l’événement.

2 – Assurez-vous qu’il y a accès à internet à l’endroit où se tiendra l’événement et que la connexion est fiable.

3 – Ouvrez un compte Twitter identifié à votre événement. Assurez-vous de bien remplir votre profil, d’insérer une photo ou image de l’événement et de créer un background personnalisé.

4 - Déterminer un hashtag(#) pour l’événement – assurez-vous qu’il est disponible (non utilisé pour un autre événement), court (idéalement moins de 6 lettres) et utilisez de préférence des minuscules et un nom facile à retenir, ex : #salonorg

L’hôtellerie dans tous ses états

Vous connaissez sans doute le concept de La cabane en l’air qui propose de dormir dans les arbres. Depuis le développement de ce concept et en raison d’une conjoncture ralentie et d’une concurrence forte, de nombreux hôteliers se sont tournés vers de nouveaux modes d’hébergements atypiques et tentent ainsi d’offrir de nouvelles expériences aux voyageurs.

Vous l’aurez sûrement compris, ce billet a pour objectif de rassembler quelques exemples de chambres et d’hôtels originaux sur le globe.

Les chambres d’hôtels classiques ne sont pas passés de mode mais à présent, de plus en plus d’individus tentent de nouvelles expériences dans des établissements hors du commun. La question de l’hébergement n’est donc plus l’élément recherché par ces clients mais il s’agit de découvrir de nouveaux concepts et parfois même de redécouvrir des plaisirs simples liés à la nature et à notre environnement.

Pour les aficionados du froid


Health and fitness travel predict top wellness travel trends for 2012

Health and Fitness Travel, leading active and wellness holiday specialists has uncovered their top wellness travel trends for 2012. The experts at Health and Fitness Travel are always researching and forecasting what are going to be the next big trends in this niche travel sector, and making sure their clients are always in the know with the latest and most up-to-date information. Here are Health and Fitness Travel’s latest predictions for 2012.

Spa and Culture

More spas around the world now enable you to dip your toes in another country’s culture and experience your destination on a holistic level. Combining a healthy getaway with culture is a way to experience spa therapies that are indigenous to the country you are visiting. More innovative spas have created treatments based on their local culture and customs.

Bootcamp for the Soul

We want more of a holistic approach to fitness. The new wave of active and wellness retreats help you wind down and tone up at the same time with a little bit of luxury in comparison to the tough military bootcamp approach. More holidays offer a gentler approach in how to exercise with dedicated tailor-made wellness programmes and some much needed time for relaxation.

Age Adapted Spas

We expect more generation spas to appear in 2012, adapted to the needs of specific age groups. Age adapted spas targeting younger groups will be focusing on the preventative aspect of healthy ageing, whereas 55+ spas will be incorporating rehabilitation treatments and looking at how to prevent age related diseases such as osteoporosis.